Table des matières
En copropriété, avant d’envisager des travaux au sein d’un immeuble, il est indispensable de respecter toute une procédure. Celle-ci implique non seulement des démarches administratives, mais aussi des réglementations à prendre en compte.
Cela s’applique bien évidemment à tous les types de travaux, comme le fait de refaire un parking dans un immeuble. Découvrez dans cet article tout ce qu’il faut retenir à propos de cela pour éviter les catastrophes !
Quels types de revêtements pour refaire le parking d’un immeuble ?
Qu’il s’agisse d’un parking d’immeuble déjà existant ou d’une toute nouvelle construction, il est indispensable de prendre en compte quelques points avant de se lancer, notamment en copropriété.
De ce fait, il faut savoir que l’un des premiers choix à faire est celui du type de revêtement. Celui-ci possède une importance capitale, car il reflète l’image de la copropriété.
Il existe deux types de revêtements :
- Les revêtements des parkings extérieurs ;
- Les revêtements des parkings intérieurs.
Pour ce qui est de la première option, il faut savoir qu’il est possible de faire un choix entre le gravier, le bitume, le béton, les pavés autobloquants ou encore les dalles. Pour ce qui est des parkings intérieurs, il est possible de choisir entre le sol coulé en béton, les revêtements structurés, la peinture de sol, le sol résine, etc.
La réglementation d’un parking d’immeuble
Avant de refaire un parking en copropriété, il est important de prendre en compte la réglementation en vigueur. De ce fait, il faut retenir qu’une place de parking est représentée par un marquage au sol.
Pour ce qui est des dimensions minimales, elles sont de 5 m x 2,30 m en moyenne, et ce, pour des places en bataille qui sont les plus communes. Pour les places en épi à 75°, les dimensions à respecter sont de 5,10 m x 2,25 m contre 5 m x 2,30 m pour le créneau longitudinal.
Bien sûr, il ne faut pas oublier qu’il existe différents types de places de parking en épi, et ce, en fonction du degré d’inclinaison.